Frédéric GAND

Nous vous donnons tout notre courage en cet épreuve difficile. Sincère condoléances à vous.

Papa,

Il m’a fallu du temps avant de trouver le courage de t’écrire. Les mots se bousculent, entre la douleur, la nostalgie et tout ce que je n’ai jamais eu la chance de te dire. Même si notre lien s’était abîmé avec le temps, au fond de moi, tu es toujours resté mon papa. Celui qui m’appelait ma nénette, avec cette tendresse que je n’oublierai jamais.

La vie n’a pas toujours été simple entre nous. Il y a eu des silences, des blessures, des distances que je ne savais pas comment combler. Mais malgré tout, je garde de toi une trace profonde, indélébile. Parce qu’on ne cesse jamais vraiment d’aimer son père, même quand les chemins se séparent.

Aujourd’hui, ton absence réveille tout ce que je n’ai pas su dire. J’aurais voulu qu’on se retrouve, qu’on se parle sans rancune, qu’on partage un de ces moments simples qui manquent tant. J’espère que, là où tu es, tu m’entends et que tu sais que je t’aime, à ma manière — peut-être maladroite, mais sincère.

Tu restes une partie de moi, dans mes gestes, dans mes pensées, parfois même dans mon regard. Et quand je repense à toi, c’est ton « ma nénette » qui résonne, comme une petite lumière au fond du cœur.

Repose en paix, papa.
Je t’aime.

Je suis profondément peiné par la perte de Frédéric et vous adresse mes condoléances les plus sincères

Nous prenons part à votre douleur et vous présentons nos sincères condoléances